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L'humanité son sens, sa direction.

Évolution de l'animal à l'homme.

Hokusai-peintre-japonais-la-vague

De la nature à la culture.

Depuis plus d'un siècle, les grandes questions métaphysiques semblent avoir désertées les rives humides de la pensée occidentale. Dieu, l'âme, l’après mort, n'ont guère intéressé la philosophie depuis. L'humanité devait vivre ses deux siècles de nihilisme dont parle Friedrich Nietzsche :

"Ce que je raconte est l'histoire des deux siècles prochains. Je décris ce qui vient, ce qui ne peut plus venir d'une autre manière : l'avènement du nihilisme" (fragment pour la préface au roman inachevé : la "volonté de puissance").

Jusqu’à présent, la prophétie du philosophe de Weimar semble juste, au moins pour la partie industrialisée du monde, mais ce n'est pas pour autant que les grandes interrogations métaphysiques ont disparues de nos esprits assoiffés et s'assagissant.

Quand la vie nous extrait un moment de l'agitation du monde, ou lorsqu'elle éclaire sans ménagement notre propre finalité, ces interrogations transcendantes surgissent et remontent à notre conscience.

Pourquoi l'homme à t-il quitté le monde animal ? L'univers a-t-il un sens ? L'humanité a-t-elle un sens ? La vie a-t-elle un sens ? Les actions humaines ont-elles un sens ? Y a-t-il du divin dans le monde ? Y a-t-il autre chose après la mort ? Etc..

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Un sens du monde, malgré le mal.

Comment redonner un sens positif au progrès après Auschwitz ?

photo jean marc tonizzo, une rue distordue

Le mal détruit-il le sens du monde ?

Parler d'évolution positive dans une période encore proche des monstrueuses régressions du 20eme siècle, est difficile à réaliser. L'explosion du superficiel au détriment du métaphysique, en est sans doute une des conséquences. En 60 ans, rares sont les réflexions sur l'avenir humain à avoir refait surface. La téléologie parait avoir quitter l'esprit de l'Occident. Ce désintérêt, découle en parti de l'écœurement induit par ce que le nazisme à fait vivre aux humains.

Comment en effet, admettre le concept « d'évolution positive » après Auschwitz ? Comment être optimiste malgré la présence du « mal extrême » dans l'humanité ?
Pour réussir cette performance, nous devons regarder en face le côté sombre de la « réalité », accepter d'étudier ce que nous appelons le "mal",et en comprendre la triste nécessité. Nous devons saisir sa place à l'intérieur de l'évolution humaine, l'admettre, tout en travaillant, bien sur et sans relâche, à progressivement l'éradiquer.

C'est ce que nous ...

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Progrès et néo libéralisme.

La mondialisation, constructrice et destructrice d'humanité.

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Le progrès est-il « bon » en dépit de l'ultra libéralisme ambiant ?

Telle est aussi l'interrogation à laquelle la mecaniqueuniverselle, tâchera de répondre, car en effet, un autre obstacle nous empêche de percevoir clairement la lente progression de l'humanité vers le bien. C'est la très mauvaise utilisation du progrès sur à la planète, c'est également ce néolibéralisme agressif et générateur de nombreux abus. En 20 ans il a engendré un sentiment de régression morale, sociale et spirituelle, sur tous les continents. Sa progression sourde et mécanique, fait courir de nombreux risques à la société humaine et ses dérives obscurcissent la pertinence de l'évolution.

Nous verrons pourtant que, si ce sentiment de déclin n'est pas un leurre, l'humanité reste orienté dans le bon sens malgré tout. Sur certains points l'humanité reflux en effet. Mais il s'agit d'un recul parcellaire et ponctuel. Il concerne uniquement certains versants de l'évolution. L'humanité dans sa globalité, continue quand à elle, à progresser vers le bien.

La contestation est nécessaire comme garde-fou du libéralisme.

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Retour des leaders primaires.

De la démocratie à l'aristocratie.

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Une perversion du système ?

Cette réflexion sur le libéralisme post mur de Berlin, nous conduira naturellement à étudier l'organisation sociale humaine. Nous réfléchirons alors, aux relations entre dirigeants et exécutants (dominants et dominés), aux mécanismes qu'imposent intuitivement les leaders lorsqu'ils deviennent tout-puissants, et pourquoi, alors le libéralisme ne peut tenir ses promesses.

Pourquoi la mondialisation se déroule aussi mal et nous rend aussi « malheureux ». Il y a un sens à cela. Si certaines grandes valeurs humaines, comme l'égalité, le partage, l'humilité etc., régressent depuis 20 ans, ce n'est pas le hasard. Cette atrophie est le résultat de la prise de contrôle du système des valeurs par les « dominants primaires ».

Mais ne l'oublions pas, l'humanité a besoin de tout et de tous pour évoluer vers sa perfection. Besoin des "dominants" et des "dominés", du "bien" et du "mal", des "saints" et des "assassins". Quand telle ou telle prédominance doit s'exercer, elle s'impose jusqu’à ce qu'une force contraire viennent la renverser. Quand les guerriers ont fini d'imposer leur guerre, les reconstructeurs prennent le relaie.

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Une réflexion sur la mondialisation.

L'irrésistible marche de l'évolution, passe par le marché.

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Le pire, a ses raisons que la raison ignore.

En poursuivant notre analyse, nous essaierons de saisir pourquoi c'est ce marché ultra libéral qui a pris les commandes de la mondialisation. Nous distinguerons alors le chemin que dessine la mondialisation, pourquoi elle est une étape obligée de l'humanité vers son unification (signe de la montée du national vers l'universel, ou si l'on veut de la gestion nationale à la gouvernance mondiale l'ONU).

La mise à l'écart de certaines valeurs humaines découle de la prise de contrôle du système des valeurs par le marché. Cette prise en main (et les involutions qui vont avec), répondent à une nécessité tout à fait explicables et destinées par la suite, à être résorbées ...

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En conclusion de cette préface.

Le monde à un sens, il nous faut l'éclairer ...

Nous avons fait le tour me semble-t-il des idées directrices de notre philosophie.

Quel est le sens et la finalité de notre évolution ?
Quelles sont les valeurs en progression dans l'humanité ?
Pourquoi croyons nous que l'humanité régresse?

Voilà quelques-unes des questions qu'il semble fondamental de se poser aujourd'hui.

l'évolution du religieux au profane, au spirituel.

Vous l'avez compris, ce travail poursuit deux buts bien distincts.

  • D'un côté, il plonge dans les espaces profonds des grands concepts religieux et de leurs apports inestimables à l'humanité. De cet angle, nous éclairerons le sens de l'évolution humaine, son irrésistible cheminement vers l'horizon lumineux de son ultime perfection.
  • D'un autre côté, la mecaniqueuniverselle s'attaque à des questions plus profane. Elle exprime des critiques (sans doute excessives) sur le libéralisme contemporain et les travers de la société actuelle. Nous essayons de savoir pourquoi ce système engendre tant d'injustices, abîme par certain côté, l'existence des pauvres, au lieu de l'améliorer. Pourquoi ce modèle, censé apporter du progrès, génère aujourd'hui tant de souffrances envers les plus faibles de nos frères humains.

Bien évidemment, le but de toutes ces critiques, est de permettre à ce libéralisme de se corriger.

En attendant, voyons pourquoi ce travail philosophique, peut s'inscrire dans la grande marche atemporelle des réflexions téléologiques.

Page écrite en 2000.



téléologie.



Friedrich-Hegel-philosophe-allemand

L'expérience et l'histoire nous enseignent que peuples et gouvernements n'ont jamais rien appris de l'histoire, qu'ils n'ont jamais agi suivant les maximes qu'on aurait pu en tirer. Hegel la raison dans l'histoire

 

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Jean mar tonizzo "A mes adrénalines" 1990

 

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