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Sigmund Freud

Considérations actuelles sur la guerre et sur la mort

Sigmund Freud et sa filleLa guerre et ses déceptions

A la lumière de cette brève description, il est facile de définir ce qu'on appelle le caractère d'un homme et de se rendre compte de l'insuffisance de la classification fondée sur les qualificatifs : « bon» et « méchant ». l'homme est rarement tout à fait bon ou tout à fait mauvais : le plus souvent, il est bon sous certains rapports, méchant sous certains autres ; bon dans certaines conditions extérieures, décidément méchant dans certaines autres. L'expérience nous a révélé ce fait intéressant que la préexistence, à l'âge infantile, de penchants fortement « méchants » constitue dans beaucoup de cas une condition de l'orientation vers le bien, lorsque l'individu a atteint l'âge adulte. Les enfants les plus égoïstes peuvent devenir des citoyens charitables au plus haut degré et capables des plus grands sacrifices ; la plupart des apôtres de la pitié, des philanthropes, des protecteurs d'animaux ont fait preuve, dans l'enfance, de penchants sadiques et se sont distingués par leur cruauté envers les animaux.

La transformation des « mauvais » penchants est l'œuvre de deux facteurs agissant dans la même direction et dont l'un est intérieur, l'autre extérieur. En ce qui concerne le facteur interne, il se manifeste par l'influence qu'exercent sur les mauvais penchants (disons, si l'on préfère, sur les penchants égoïstes) l'érotisme, le besoin d'amour, au sens large du mot, qu'éprouve l'homme. Par l'adjonction d'éléments érotiques, les penchants égoïstes se transforment en penchants sociaux. On ne tarde pas à constater qu'être aimé est un avantage auquel on peut et doit en sacrifier beaucoup d'autres. Quant au facteur externe, il consiste dans la pression exercée par l'éducation qui se fait le porte-parole des exigences de l'ambiance civilisée et dont l'influence est ensuite remplacée par l'action directe de cette ambiance même. La civilisation n'a pu naître et se développer que grâce à la renonciation à la satisfaction de certains besoins, et elle exige que tous ceux qui, dans la suite des générations, veulent profiter des avantages que comporte la vie civilisée, renoncent à leur tour à la satisfaction de certains instincts. Une transformation incessante de la pression extérieure en pression intérieure a lieu au cours de la vie individuelle. Grâce à l'influence continue du milieu civilisé, des penchants égoïstes de plus en plus nombreux se transforment en penchants sociaux, par suite de l'adjonction d'éléments érotiques. Nous pouvons enfin admettre que toute pression interne dont l'action se manifeste au cours de l'évolution humaine n'a été primitivement, c'est-à-dire au début de l'histoire humaine, qu'une pression externe. Les hommes qui naissent de nos jours apportent avec eux au monde une certaine disposition à transformer les penchants égoïstes en penchants sociaux, disposition faisant partie de l'organisation qu'ils ont héritée et qui opère cette transformation en réponse à des impulsions souvent très légères. Mais d'autres penchants subissent la transformation, non plus en vertu d'une disposition héréditaire, mais sous la pression de facteurs extérieurs. C'est ainsi que tout individu subit non seulement l'influence de son ambiance civilisée actuelle, mais aussi celle des milieux dans lesquels avaient vécu ses ancêtres.

En Désignant sous le nom d'aptitude à la vie civilisée la faculté que possède l'homme de transformer ses penchants égoïstes sous l'influence de facteurs érotiques, nous pouvons dire que cette aptitude se compose de deux parties, Dont l'une est innée, tandis que l'autre a été acquise au cours de la vie ; et que les rapports existant entre ces deux parties, ainsi qu'entre chacune d'elles et les penchants qui n'ont pas subi la transformation érotico-sociale, sont très variables.

Nous avons une tendance à attribuer une valeur exagérée à ce qu'il y a d'inné dans le penchant à la vie civilisée et, d'une façon générale, à surestimer ce penchant, qu'il s'agisse de ses éléments innés ou acquis, par rapport à ce qui, De notre vie instinctive, est demeuré primitif. Autrement dit, nous avons une tendance à juger l'homme « meilleur » qu'il n'est en réalité. Il existe cependant encore une autre cause qui trouble notre jugement et nous pousse à conclure dans un sens trop favorable.

Les impulsions instinctives des autres hommes échappent naturellement à notre perception. Nous les inférons d'après leurs actes et leur manière de se comporter que nous rattachons à des mobiles ayant leur source dans la vie instinctive. Mais dans un grand nombre de cas la conclusion ainsi obtenue est erronée. Les mêmes actions, « bonnes » lorsqu'on les envisage sous l'angle de la vie civilisée, peuvent, dans certains cas, être dictées par des motifs « nobles », Dans d'autres non. Les théoriciens de la morale n'appellent « bonnes » que les actions qui sont l'expression de bons penchants, et refusent ce qualificatif aux actions qui ne remplissent pas cette condition. Mais la société, qui ne se laisse guider que par des considérations pratiques, ne se soucie nullement de cette distinction ; elle se contente de constater que l'homme conforme sa conduite et ses actes aux exigences de la vie civilisée, sans se préoccuper de leurs mobiles.

Nous avons dit que la pression extérieure que l'éducation et l'ambiance exercent sur l'homme a pour effet de contribuer à l'orientation de la vie instinctive vers le bien, de favoriser le passage de l'égoïsme à l'altruisme. Mais il s'agit là d'un effet qui ne se produit ni nécessairement ni dans tous les cas. L'éducation et l'ambiance ne se contentent pas, et n'ont pas toujours l'occasion, de distribuer des primes à l'amour; elles sont obligées de recourir à d'autres moyens d'encouragement : à la récompense et au châtiment. Aussi arrive-t-il souvent que ceux sur lesquels s'exerce leur influence se comportent d'une façon socialement bonne et louable, sans que leur vie instinctive se soit affinée, sans que leurs penchants égoïstes aient subi une véritable transformation en penchants sociaux. En gros, le résultat sera le même; et c'est seulement dans certaines circonstances particulières qu'il apparaît que tel individu agit toujours bien, parce qu'il y est vraiment poussé par ses instincts, tandis que tel autre ne se comporte d'une manière socialement bonne qu'aussi longtemps et pour autant que cela s'accorde avec ses fins égoïstes. Mais une connaissance superficielle de l'individu ne nous fournit aucun moyen de distinguer entre ces deux cas, et notre optimisme nous poussera toujours à exagérer le nombre de ceux dont les penchants ont subi une transformation sociale.

Nos sociétés civilisées, qui exigent une bonne conduite, sans se soucier des penchants qui sont à leur base, a ainsi habitué un grand nombre d'hommes à obéir, à se conformer aux conditions de la vie civilisée, sans que leur nature participe à cette obéissance. Encouragées par ce succès, elles ont poussé les exigences morales aussi loin que possible, ce qui a eu pour effet de creuser un fossé encore plus profond entre la conduite imposée aux individus et leurs dispositions instinctives. Celles-ci subissaient une répression de plus en plus grande, et la tension qui en résultait se manifestait par des phénomènes de réaction et de compensation des plus bizarres. Dans le domaine de la sexualité, où la répression est le moins facile à obtenir, nous assistons aux phénomènes de réaction présentés par les malades névrotiques. Dans les autres domaines, la pression exercée par la vie civilisée, sans se manifester par des phénomènes pathologiques proprement dits, aboutit à des déformations du caractère, les instincts inhibés étant toujours prêts à profiter de la moindre occasion pour s'assurer une satisfaction. Celui qui est ainsi obligé de réagir constamment en se conformant à des règles et prescriptions, sans attache aucune avec ses penchants intimes, celui-là vît, psychologiquement parlant, au-dessus de ses moyens et peut, si on se place au point de vue objectif, être considéré comme un hypocrite, alors même qu'il n'a aucune conscience de cette hypocrisie. Il est incontestable que notre civilisation actuelle favorise dans une mesure extraordinaire ce genre d'hypocrisie. On peut dire, sans exagération, qu'elle repose sur cette hypocrisie et qu'elle subirait de profonds changements, si les hommes s'avisaient de commencer à vivre selon la vérité psychologique. Il existe donc infiniment plus d'hommes qui acceptent la civilisation en hypocrites que d'hommes vraiment et réellement civilisés, et il est même permis de se demander si un certain degré d'hypocrisie n'est pas nécessaire au maintien et à la conservation de la civilisation étant donné le petit nombre d'hommes chez 1esquels le penchant à la vie civilisée est devenu une propriété organique. D'autre part, le maintien de la civilisation, même sur une base aussi fragile, offre la possibilité d'obtenir dans chaque nouvelle génération une nouvelle transformation des penchants, condition d'une civilisation meilleure.

Les considérations qui précèdent nous apportent déjà une première consolation, en nous montrant que la tristesse et la douloureuse déception que nous avons éprouvées à la vue des actes, si peu conformes à notre idée de la vie civilisée, dont se sont rendus coupables nos concitoyens du monde, n'étaient pas justifiées. En réalité, nos concitoyens du monde ne sont pas tombés aussi bas que nous l'avions cru, pour la simple raison qu'ils n'étaient pas à un niveau aussi élevé que nous nous l'étions imaginé. Ayant laissé tomber, les uns à l'égard des autres, les restrictions morales, les grands individus humains, peuples et états, ont cru pouvoir se soustraire momentanément aux obligations découlant de la vie civilisée et donner libre cours à leurs penchants refoulés, avides de satisfaction. Il est à supposer que la moralité relative, en vigueur dans les limites de chaque état et au sein de chaque peuple, n'en a pas souffert outre mesure.

Mais nous pouvons nous faire une idée encore plus profonde du changement que la guerre a produit dans la manière d'être et d'agir de nos anciens compatriotes du monde, et ce nous sera un avertissement de plus de nous garder d'être injustes envers eux. Les évolutions psychiques présentent une particularité qu'on ne retrouve dans aucun autre processus d'évolution ou de développement. Lorsqu'un village se transforme en ville ou que l'enfant devient homme, le village et l'enfant sont totalement absorbés, jusqu'à disparaître, dans la ville et dans l'homme. C'est seulement par un effort de mémoire qu'on peut retrouver des traits anciens dans la formation nouvelle; en réalité, les matériaux anciens et les formes anciennes ont disparu, pour faire place à des matériaux nouveaux et à des formes nouvelles. Il en est tout autrement de l'évolution psychique. Il y a là une situation à nulle autre pareille et qu'on ne peut décrire autrement qu'en disant que toute phase de développement antécédente subsiste et se conserve à côté de celle à laquelle elle a donné naissance. La succession comporte en même temps une coexistence, bien que les matériaux ayant servi à toute la suite des modifications soient les mêmes. L'état psychique antécédent peut rester pendant des années sans se manifester extérieurement ; mais, nous le répétons, il n'en subsiste pas moins, tant et si bien qu'il est susceptible, à un moment donné, de devenir la forme d'expression Des forces psychiques, voire la forme unique, comme si toutes les phases ultérieures n'existaient pas, avaient disparu. Cette plasticité extraordinaire des possibilités d'évolution psychique ne peut cependant pas se manifester dans toutes les directions ; on peut la désigner comme représentant une aptitude extraordinaire à la répression, car il arrive souvent qu'une phase d'évolution ultérieure et supérieure, une fois délaissée, ne peut plus être rejointe. Les états primitifs, au contraire, restent toujours susceptibles de reproduction et d'évocation ; ce qu'il y a de primitif dans notre vie psychique est, au sens littéral du mot, impérissable.

Les maladies dites psychiques sont de nature à faire croire au profane qu'elles résultent d'une destruction de la vie mentale et psychique. En réalité, la destruction ne porte que sur des acquisitions et des phases d'évolution tardives. L'essence de la maladie psychique consiste dans un retour à des états antérieurs de la vie affective et fonctionnelle. Nous avons un excellent exemple de la plasticité de la vie psychique dans l'état de sommeil que nous cherchons à réaliser chaque nuit. Depuis que nous sommes à même d'interpréter les rêves, même les plus extravagants et les plus embrouillés, nous savons que toutes les fois qu'un homme s'endort, il se débarrasse comme d'un vêtement de toute sa moralité si péniblement acquise, pour la retrouver le lendemain, au réveil. Ce déshabillage moral est naturellement sans danger, l'état de sommeil, qui nous paralyse, nous condamne à l'inactivité. Seul le rêve est susceptible de nous renseigner sur la régression de notre vie affective vers l'une des phases d'évolution antérieures. C'est ainsi, par exemple, qu'il convient de noter le fait que nos rêves sont dominés par des mobiles purement égoïstes. Un Anglais de mes amis s'étant fait le défenseur de ce principe devant une assemblée savante en Amérique, une dame faisant partie de l'assistance formula cette remarque que ce qu'il disait pouvait être vrai en Autriche, mais qu'en ce qui la concernait, elle tenait à assurer que ses amis et elle éprouvaient bien des sentiments altruistes, même dans leurs rêves. Mon ami, bien que lui-même de race anglaise, se vit obligé, en invoquant les résultats qu'il avait obtenus par l'analyse de rêves, de répondre à la dame que dans les rêves les nobles dames américaines ne le cédaient en rien, au point de vue de l'égoïsme, aux dames autrichiennes.

C'est ainsi que la transformation des penchants, sur laquelle repose notre aptitude à la vie civilisée, peut, sous l'influence des événements de la vie, être frappée de régression, passagère ou durable. Il est incontestable que les influences ayant leur source dans la guerre font partie des forces capables de provoquer une pareille régression, ce qui fait que nous n'avons pas le droit de refuser l'aptitude à la vie civilisée à tous ceux qui se comportent contrairement aux principes sur lesquels repose cette vie et que nous devons attendre, jusqu'à ce que des temps meilleurs et plus calmes ramènent de nouveau à la surface leurs sentiments nobles et élevés.

Mais nous avons constaté chez nos concitoyens du monde un autre symptôme qui ne nous a peut-être pas moins surpris et effrayés que la baisse, si douloureuse pour nous, de leur niveau moral. Je fais allusion à leur manque d'intelligence, à leur stupide obstination, à leur inaccessibilité aux arguments les plus convaincants, à la crédulité enfantine avec laquelle ils acceptent les affirmations les plus discutables. Il en résulte un tableau profondément triste, et je tiens à proclamer hautement que je ne suis pas aveuglé par le parti-pris, au point de n'apercevoir ces défauts intellectuels que dans un seul des camps adverses. Or, ce phénomène s'explique encore plus facilement que celui dont nous nous sommes occupés plus haut et est moins fait pour nous troubler et inquiéter. Les philosophes et les connaisseurs d'hommes nous ont dit depuis longtemps que nous avions tort de considérer notre intelligence comme une force indépendante et de ne pas tenir compte de sa subordination à la vie affective. Notre intellect ne peut travailler efficacement que pour autant qu'il est soustrait à des influences affectives trop intenses ; dans le cas contraire, il se comporte tout simplement comme un instrument au service d'une volonté, et il produit le résultat que celle-ci lui inculque. Les arguments logiques ne peuvent donc rien contre les intérêts affectifs, et c'est pourquoi la lutte à coup de raisons est si stérile dans le monde des intérêts. L'expérience psychanalytique ne fait que confirmer cette vérité. Elle a journellement l'occasion de constater que les hommes les plus intelligents perdent subitement toute faculté de comprendre et se comportent comme des imbéciles, dès que les idées qu'on leur présente se heurtent chez eux à une résistance affective, mais que leur intelligence et leur faculté de comprendre se réveillent, lorsque cette résistance est vaincue. L'aveuglement logique dans lequel cette guerre a plongé précisément les meilleurs de nos concitoyens n'est donc qu'un phénomène secondaire, la conséquence d'une excitation affective et, il faut l'espérer, disparaîtra avec les causes qui l'ont provoqué.

Après avoir ainsi réappris à comprendre nos concitoyens qui nous étaient devenus si étrangers, nous supporterons beaucoup plus facilement la déception que nous ont causée les peuples, ces grands individus de l'humanité, à l'égard desquels nous devons d'ailleurs modérer nos exigences. Il est possible que les peuples, reproduisant l'évolution des individus, se trouvent encore aujourd'hui à des phases d'organisation très primitives, à une étape très peu avancée du chemin qui conduit à la formation d'unités supérieures. C'est pourquoi on ne constaterait pas encore chez eux les effets moralisateurs de la pression extérieure qui se manifestent avec tant de force chez l'individu. Nous avons pu espérer que la grande communauté d'intérêts créée par les facilités de communication, par les relations de plus en plus suivies et fréquentes et par l'échange continu de produits marquerait le commencement d'une pareille pression moralisatrice; mais il semble que, pour le moment, les peuples obéissent plus à la voix de leurs passions qu'à celle de leurs intérêts. Ils ne mettent en avant les intérêts que pour rationaliser leurs passions, pour pouvoir justifier la satisfaction qu'ils cherchent à leur accorder. Pourquoi les individus ethniques se méprisent-ils en général les uns les autres, se haïssent-ils, s'exècrent-ils? C'est là un mystère dont le sens m'échappe. On Dirait qu'il suffit qu'un grand nombre, que des millions d'hommes se trouvent réunis, pour que toutes les acquisitions morales des individus qui les composent s'évanouissent aussitôt et qu'il ne reste à leur place que les attitudes psychiques les plus primitives, les plus anciennes, les plus brutales. Résultat profondément regrettable et qui s'atténuera peut-être à mesure que l'évolution poursuivra sa marche en avant. Nous croyons cependant qu'un peu plus de franchise et de sincérité dans les relations des hommes entre eux et dans les rapports entre les hommes et ceux qui les gouvernent serait de nature à frayer la voie à cette évolution.

Cet ouvrage, traduit par le Dr S. Jankélévitch, a été précédemment publié dans la « Bibliothèque Scientifique » des éditions Payot, Paris.

Cette nouvelle édition a été revue et mise au point par le Dr A. Hesnard pour la « Petite Bibliothèque Payot ».

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Sigmund Freud. Neurologue autrichien. Un des pères de la psychanalyse,

Sigmund Freud

Medecin et neurologue Autrichien né à Freiberg le 6 mai 1856 (aujourd'hui en république tchèque), il meurt à Londres le 23 septembre 1939.

Un des penseurs les plus important du siècle dernier et l'inventeur de la psychanalyse