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Actualité politique

La bienveillance d'OBAMA

Barak Obama(vendredi 25 sept 2009)

Si Obama, peut se permettre un discours aussi puissant et clair que celui qu'il vient de prononcer à l'ONU, c'est avant tout parce que l'homme à l'esprit pétri de bienveillance.

La bienveillance a cela de puissant, qu'elle permet de ne détester personne et au contraire d’aimer tout le monde.

La bienveillance voit les difficultés et les contradictions de chacun. Elle perçoit la souffrance de l'oppressé comme celle de l'oppresseur.
Elle est consciente de l'histoire et de la difficulté humaine a quitté ses vieux mécanismes.
Elle veut le bien de tous et non le bien de certains au détriment des autres.

Cette bienveillance juste de Obama, est évidente dans son attitude vis-à-vis du conflit israélo-palestinien.
 
Elle était évidente dans ses paroles, son regard et ses gestes lorsqu'il recevait le 22 septembre les dirigeants israéliens et palestiniens.
Cette puissance tranquille, bienveillante et déterminé à la paix, l'attitude des deux leaders opposés, Netanyahu et Abbas, montre, qu'ils l'ont ressenti.

On sent que Barak Obama aime les Israéliens comme il aime les palestiniens, sans distinction, avec profondeur et amour.

Cette capacité à ne pas se ranger d'un bord contre un autre, est la seule façon d'aider au solutionnement de ce conflit et de tous les conflits en général.

Tous les dirigeants qui veulent s'occuper d'un conflit sans bienveillance et en privilégient l'un au détriment de l'autre ne font qu'activer les hostilités.

Seule, donc, la bienveillance permet de sortir des conflits.

La bienveillance préfère la paix à la guerre, et ne se résout aux armes qu'en dernière extrémité.

La bienveillance voit en priorité la souffrance des peuples qui sont soumis à la guerre et non pas les questions de stratégie.

La bienveillance n'est ni rusée ni manipulatrice, elle est claire et franche c'est ce qui lui donne toute sa force.

Les esprits bienveillants vivent dans la paix et la sérénité tout simplement parce que leurs paroles émanent d’un cœur clair et bienveillant. Leurs actes alors s'accordent à leurs paroles bienveillantes et deviennent des actes bienveillants.

Seulement, les bienveillants comme Obama, se heurte en permanence aux esprits partisans et claniques, aux sectateurs qui voudrait l'entraîner à prendre une position plus favorable envers celui-ci ou celui-là.

C'est pourquoi, il faut 1000 fois plus de courage et de force à un homme politique bienveillant et désireux de justice, qu'à ceux qui se rangent du côté des puissants.

Tout être humain, a en lui cette bienveillance. Il suffit qu'il aille la chercher au fond de lui-même. Et il suffit pour cela, qu'il en fasse le choix.

Le discours de Obama à la tribune de l'ONU devrait être diffusé sur toutes les télévisions du monde, car il est un exemple pour chacun.

Travaillons à développer la bienveillance dans la justice

 

Ceci n'est que mon point de vue, n'oubliez pas votre esprit critique.

Des tentatives d'alliance des opposants à la politique du gouvernement

Voici un petit article qui essaie de démontrer les réactions naturelles à toute tentative d'écraser définitivement les oppositions par un pouvoir quel qu'il soit en régime démocratique...

Tout d'abord il me paraît intéressant d'essayer de faire la genèse de ce désir de regroupement.
À mon sens, il est une réponse à la mécanique instinctive du pouvoir actuel. Celle qui vise à écraser progressivement toute opposition...

De la naissance des régimes durs.

Si, dans un pays, on laisse l'injustice et la corruption violente s'installer, on doit aussi admettre qu'un régime dur et liberticide vienne ensuite pour la juguler.

La pollution

Il est probable que la surdité de certains puissants face à la planète, et les répercussion de celle-ci sur l'écosystème, à un sens. Elle semble conduire tout droit a une sorte de paroxisme que seul un engagement planétaire de l'ensemble humain pourra inverser (il est possible par exemple qu'un jour l'ensemble des être humain soit obligé de prendre des mesures à l'échelle mondiale, du type arrêter quelque temps la circulation, réduire l'activité etc, ce qui obligera l'homme a hisser sa conscience au niveau universel)

A présent, tous les groupes de la société adaptents leurs opinions et leurs actes sur les idées véhiculés par la télé. Hommes politiques, juges et opinion publique, fixent leurs attitudes sur les messages proposer par les médias..

Donc si les médias choisissent :

  • de privilégier l'idée de la vengeance sur la loi (on entend de plus en plus dans les reportages des gens exprimer leur désir de vengeance face à la camera sans qu'un décodage et une rectification législative n'intervienne, car nous savons que nous sommes dans une société de droit qui interdit la vengeance)
  • de privilégier l'idée de répression et d'enfermement sur l'idée de soin de compréhension d'analyse etc.

Alors l'ensemble de la société se durcit, se réactionnarise se binarise et devient de plus en plus intolerante, raciste, et rigide.

D'autre part, comment ne pas faire un rapprochement entre les dernieres années de médiatisation à outrance de la violence, médiatisation culpabilisante accusant les plus exclus de la société, médiatisation sans compassions, sans analyses sociologiques et sans réfléxion..... Et l'enfermement à outrance pratiqué sur le peuple par la justice ?
Comment ne pas faire le rapport entre la dérive des journalistes dans la sphère protégé des nantis, des bourgeois en somme, et leur façon réactionnaire et sans recul de traiter la transgression populaire ?

bien et mal

Le jour ou ce que nous appelons le bien motivera autant d'énergie positive que ce que nous appelons le mal, alors nous n'aurons plus besoin du mal pour construire le bien.

Actualité reflexive

Extrait du livre la conscience morale de G. Madinier aux presses universitaires de France.
La philosophie du Jean-Paul Sartre souligne avec force un aspect de la conscience sur lequel nous voudrions, nous aussi, mettre l'accent. Beaucoup de philosophe voit en elle une plénitude de l'être, c'est là, nous dit Sartre, une vue inexacte. La conscience se définit comme présence à soi, mais elle est, par le fait même, non coïncidence avec soi, car le sujet pour être présent à soi doit se séparer de soi ; il n'est pas pleinement ce qu'il est, et il veut se faire être ce qu'il n'est pas.

En effet, pour que l'être soit dans la plénitude de lui-même, il faut qu'il se vive et non pas qu'il se pense, s'il se pense ou s'il s'observe, il est extérieur a lui-même, il est double, il y a un être et un sujet pensant ou observant, et c'est ce sujet dans ce cas-là qui ressent pour tout l'être.
Le sujet ressent les sensations du sujet, de la personne, «  moi je ressens ça » il ressent son ego, son moi.
Tant que le sujet observe ou commente ce qu'il ressent, il ressent l'observation où le commentaire de la sensation, mais pas la sensation exacte.

La véritable plénitude de l'être se vit sans se penser, l'être devient cette conscience absolue.
C'est la béatitude, le nirvana, l'extase, c'est l'être en soi qui se ressent, c'est pourquoi, dans cette expérience, il y a dissolution de l'ego, du moi, c'est-à-dire du sujet, de la personne.

Mais se vivre dans la conscience absolue, ce n'est pas non plus se vivre à travers nos pulsions, nos tendances, nos désirs, car toutes ces facultés appartiennent au moi, à l'ego, au sujet, elles ne font pas partie de la conscience et même si parfois elles montent en elles, elles en sont extérieures, c'est pourquoi cet état de plénitude, c'est a dire de ressentis de la conscience pure par elle même, exige un effort, l'effort d'anéantir dans l'esprit, tout ce qui n'est pas cette conscience pure (et cela correspond bien au travail de l'ascète).