Introductions aux tendances Des moteurs d'actions,  Des forces poussant l'homme à agir
Tout être vivant est un ensemble dynamique de besoins, de tendances, de pensées et d'actions.
On appelle « tendances », l'ensemble des forces orientant l'activité des hommes constructeurs vers certaines fins.
Certaines de ces tendances, l'humanité les valorise. C'est le cas de l'amitié, de la fraternité, de l'égalité, de la paix, de la justice, du respect d'autrui, de l'altruisme, de la générosité, etc.
D'autres au contraire, sont dépréciées ou condamnées par la majorité humaine. C'est le cas de l'élitisme discriminant, de l'égoïsme, de la thésaurisation des privilèges, de la clanicité, de la prédation, de l'abus d'autrui, de la violence, de la domination etc. Tendances positives et tendances négatives
Il y a donc, d'un côté, ce que nous pourrions appeler les « tendances positives ». Et de l'autre, les « tendances négatives ». Il s'agit bien-sur, d'une séparation à prendre à la légère. Chaque action humaine, bonne ou mauvaise, fini, au bout du compte, par enrichir l'évolution positive de l'humanité (ce qui devrait exiger de la société humaine du soutient et de bienveillance envers le transgressant).
Cette distinction entre positif et négatif, est pourtant nécessaire. Elle permet à l'homme d'agir dans la cohérence de l'évolution humaine. Autrement dit, de préférer le bien au mal, le juste à l'injuste, l'acte gentil et l'acte méchant.
Dans ce chapitre, nous adopterons un point de vu critique envers les tendances dites « négatives ». Nous ne nous préoccuperons pas pour l'instant, de leurs apports positifs. Mais il suffit de lire les grandes philosophies libérales, pour comprendre par exemple, l'intérêt de l'égoïsme dans la construction humaine (évidemment, même si l'égoïsme est, sous certains angles, un stimulant à l'action, nous devons pourtant le combattre. Pour agir dans le sens de l'évolution, on doit lui préférer le partage, la complémentarité, l'échange juste, la coopération, etc.).
écrits de 2001
les idéologies
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