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  • l'humanité
    symbiose (suite)

Médias et symbiose

Télévisions et ouverture de conscience des sociétés

Geluck, le chatSymbiose : association durable et réciproque, profitable à l'ensemble.

En ce début de XXIe siècle, une grande partie des relations internationales se déroule encore de façon antagoniste. Le niveau global de la conscience humaine ne nous permet encore que cela.

Des expériences d'échanges symbiotiques se pratiquent ça et là, mais restent marginales (c'est le cas par exemple du commerce équitable). Théoriquement, nous pourrions déjà passer en douceur, d'un libéralisme féroce à un libéralisme symbiotique. Ce serait évidemment souhaitable. Un tel système hisserait comme priorité le bien de l'ensemble humains. Il permettrait d'offrir, à chaque individu son idéal vital. Notre planète peut déjà offrir à chacun de quoi manger et boire à sa faim, se vêtir, avoir un toit et accéder aux soins. Elle à les moyen d'éduquer les enfants et de fournir le maximum de sécurité.

La force inexploitée des médias

La télévision est un média récent. En cinquante ans à peine, elle s'est répandue dans la masse pour devenir l'éducateur numéro un de l'humanité. En 3 décennies, ce média est parvenu à universaliser le coca cola, le macdo, Michael Jackson ou Madonna. Il est donc capable d'universaliser tous les droits humains et sur l'ensemble de la planète.

Un engagement humaniste de l'ensemble des médias, pourrait faire évoluer la conscience de l'humanité rapidement. Les journalistes ont les moyens d'orienter en douceur les leaders de cette planète vers des concepts symbiotiques permettant d'offrir les droits vitaux à l'ensemble des hommes. Un tel engagement résoudrait une grande partie des problèmes de l'humanité (malnutrition, non-droit, analphabétisme, démographie, violence.). Une compétitivité prioritairement attentive au bien universel, rendrait rapidement propre et désirable le progrès et la technologie. Une attitude symbiotique développerait notre conscience de l'universel. Notre conscience de l'égalité et de la liberté. Notre sentiment de travailler pour la communauté présente et future. Notre sens des responsabilités vis-à-vis d'autrui. Notre respect de sa différence. Notre devoir de partage et d'écoute.

Le peuple, prêt à la symbiose

Les années quatre-vingt, ont vu la chute du communisme et l'exaltation d'un nouveau libéralisme. Devenu tout-puissant, ces nouveaux libéraux ont privatisé une grande partie des services publics et des médias. Le monde journalistique est alors devenu prisonnier du monde industriel. Le marché maintient cette corporation sous sa coupe, en utilisant le simple mécanisme du diviser pour mieux régner.

Autrement-dit, en se solidarisant (mondialement parlant), les journalistes parviendraient à se libérer de cette entrave. ils retrouveraient alors le goût de l'agir pour le bien universel. Les médias, me semble-t-il, ont aujourd'hui les pieds sur l'accélérateur ou le frein de cette inévitable ouverture vers la symbiose.

L'aptitude à accepter un fonctionnement symbiotique, les peuples, dans leur majorité la possède déjà. Ils sont prêt à y adhérer. Il suffit d'observer les élans de solidarité dont la société est capable. Le désir de participer à une œuvre collective, profonde, généreuse et loyale, fait véritablement partie de l'esprit populaire.

Des dominants à la traîne

Naturellement, le groupe dominant est moins apte au partage démocratique que le peuple, c'est pourquoi l'humanité choisit progressivement la démocratie, autrement dit la souveraineté du peuple pour évoluer. Les valeurs du peuple sont plutôt solidaires et généreuses, et celles des dominants, plutôt individuelles et égoïstes (ce qui est aussi une force et un plus pour l'évolution). L'esprit de ces derniers parvient difficilement encore à accepter les règles du partage, de la démocratie et du désir symbiotique. Son goût pour la différence de classe et pour la thésaurisation, est beaucoup trop prononcé. Son désir de pouvoir, d'honneur, de richesse, est encore trop présent dans son caractère archaïque. Mais c'est aussi un moteur et donc nos critiques doivent êtres relativisées.

an 2001

symbiose et motivation

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Bouddha bronze, mains levées

Il n'y a d'heureux que ceux dont l'âme imprègne, illumine le corps et vit en symbiose avec lui
Pierre Charbonneau